Nous avons établi de nombreux modèles animaux (modèle préclinique) et cellulaires dans lesquels chacun des gènes codant pour ces protéines a été soit inactivé soit muté et qui, grâce à une combinaison d’approches moléculaires, cellulaires et anatomiques vont nous permettre d’aborder de nombreuses questions : (1) comment ces protéines influencent elles l’organisation chromatinienne et nucléaire ? (2) Quels sont les liens entre organisation chromatinienne/nucléaire et fonctions cellulaires. (3) Quels sont les partenaires impliqués dans ces fonctions et enfin (4) déterminer comment des dérégulations de ce niveau d’information vont conduire une cellule saine à se transformer en une cellule cancéreuse ?
Nos résultats devraient nous permettre de mieux comprendre les mécanismes moléculaires du développement de nombreux cancers d’origine épigénétique et de proposer des stratégies thérapeutiques visant spécifiquement ces régulateurs chromatiniens.